Felrója hölgyismerősének, hogy három napot időzött Bécsben, de nem szólt neki, pedig tudja, mennyire kötődik hozzá. Nem üzen neki hadat, mert ismeri fegyverei erejét.
Sajnálja, hogy nem tudja meglátogatni. Úgy véli, legközelebb jobb lenne, ha vidéken találkoznának.
A napokban meglátogatta József, örülne neki, ha többször meglátogatná, mert úgy véli, hogy ő maga jó hatással van a férfira.
Permettez moi[1] Madame de vous dire tout ce que la Langue a de plus amer et de plus sensible et de me plaindre1 – de ce que vous avez eu la dureté de séjourner 3 jours entiers a Vienne très paisiblement,1 sans me donner le moindre signe de votre existence. – Si vous saviez comme je suis attaché à vous et à tout ceux qui vous appartiennent certainement vous n’auriez pas été capable – de vous arreter à la porte de la maison de mon père, de distinguer Mr de p. —[2] par1 toute sorte de bontés et d’amabilités et me laisser là – sans me dire – une parole. – Je ne vous declare point la guerre, non1 car je connois trop1 la force de vos armes – et des avantages que votre2 charmante1 armée2 á2 sur1 moi – , il faudroit se rendre avant de1 livrer bataille – je2 le sais2 trop bien – et je ne le2 veux point –, car on est trop1 blesse si on est culbuté par les graces et l’amour. – Permettez donc plutot que je me range sous vos drapeaux je combattrai peut etre mieux, et certainment avec beaucoup plus de succes et de bonheur,[3] ne dedaignez donc1 pas de me montrer un peu plus de bonté — je ne m’en rendrai1 jamais indigne et je m’en trouverai si bien – So dick und —
L’ aimable porteur de la présente, vous dira – a quel point[4] je fus fache d’apprendre, que vous etiez arrivee et partie sans que j’ai[5] 2 eu la possibilite de me presenter a vous, – vu, votre cruaute – inexcusable. – Me de W ~~ que j’adore, est aussi precisement comme vous Madame, un de ces etres bienfaisants qui me veut un peu de bien – et qui a toujours eu des yeux[6] et1 indulgents pour un homme qui2 de toute sa vie2 a eu1 les yeux aux talons – et qui allant1 de bêtises en bêtises s’est fait si souvent joli garcon —
Das war aber des =
Vous vous amusez beaucoup à Bar j‘en suis persuadé – denn da wo der Geschmack, der Bildung freundlich die Hand giebt, kann die Langeweile nicht einmal nach dem Namen gekannt werden ~~~. Je suis bien faché de ne2 pouvoir pas1 aller vous voir6 – car vous seriez pour moi1 – la baume dont on se sert en Arabie – pour la guerison de certaines plaies – que l’on ne voit pas et qui se trouvent au fond du coeur. – Je parie que2 c’est1 à la campagne qu’il faut vous voir – quoique vous2 soyez1 aussi – très bien en ville – Mais, je sais, que vous gagnez quand vous n’êtes pas trop entourée, et quand1 mieux éclairée7 – Vous direz, que c’est là1 le Langage d’un jaloux, et je ne1 dirai pas, non – purement par politesse – mais je soutiendrai toujours, daß Ihre häuslicher Werth ‒ vor1 allen übrigen guten Eigenschaften2 – die Sie zieren, gewaltig hervorleuchtet — und daß man Sie erst1 dan, wenn man diese ihre1 Seite kennen gelehrnt hat schützen muß ‒ indessen es möglich ist ‒ daß man Sie Jahre lang früher schon — liebte. ‒
Diesen meinen Satz will ich mit Schwert und Leger, selbst gegen Sie, wenn es möglich wäre ‒ verfechten.
Joseph2[a] est venu1 me voir ces jours ci. Je5 lui ai1 donne du the et du riz turc5. Ecrivez lui – ou ordonnez lui plus tôt, de venir me voir plus souvent, car je crois qu’il m’évite, connoissant la sévérité de mes principes – Il est dans l’age des dangers – et si vous n’avez point oublié5 que j’ai achete une belle experience[7] par1 mes larmes7 et si vous ne me croyez pas toutafait1 mauvais, vous conviendrez que ma société ne lui feroit point de mal – surtout parcequ’il n’est que trop vrai, qu’un jeune homme comme Mr le savant a le plaisir de representer – se rangera1 toujours plus facilement du cote d’un soit disant elegant, que dans les Rangs commandés par un Satyre de philosophie – N’oubliez pas Madame que je ne pourrai etre —2 jamais heureux1 – sans vos bontes et sans vos bonnes graces.
Reue, doch nicht ganz ohne süßes Errinnerung ‒ und Hoffnung mit Furcht erworben! und ängstlichem Erwarten, geben dein Leben ‒ wie Kränze5 umhier stehen deine Blumen verblüht, und abgewelkt, da blühen neue üppig dir wieder auf ‒ Vergesse die die nicht mehr leben ‒ und schließe an das Lebende dich nur an – Die Gegenwart die Zukunft ist noch dein ‒ lasse fahren hin die Vergangenheit oder1 findest du ‒ in das Rückblick wehmüthigem Gefühle — in dem was einstens war und nicht mehr kömt ‒ deines Herzens liebstes traulichstes Behagen ‒ kann nichts das Kommende ‒ glücklicheres dir mehr bringen nichts was verlöscht ‒ deiner Liebe erste Regung ‒ deines Herzens aller ersten Drang? malt deine Seele keinen Himmel dir mehr – kannst du nicht mehr so führ – als damals wie du das erstemal – vor der Liebe siegendem Feuer entbranntest – –
Alles ist öde und vertrocknet in des Menschen Gehirn und Brust – der nicht liebt – und seelig – die Geliebte an das wallende Herz sich drück [b] –[c]
[1] Utólag beszúrva.
[2] Törölve egy szó Széchenyi által.
[3] Törölve másfél sor Széchenyi által.
[4] Törölve három szó Széchenyi által.
[5] Javított szó.
[6] Törölve egy sor Széchenyi által.
[7] Törölve két szó Széchenyi által.
[a] Nem határozható meg, kire utal.
[b] Az utolsó, hosszabb német nyelvű rész valószínűleg idézet.
[c] A K 247 jelzetű jegyzetfüzetben található fogalmazványok keltezetlenek, az megállapítható, hogy 1819 júliusában íródtak.