Magyar fordítását közli: Kovács–Körmendy–Mázi–Oplatka 49.
Örül, hogy a harisnyák megfelelőek voltak, igyekszik még jeruzsálemi balzsamot szerezni. Reméli 1819 nyarán már együtt táncolhatnak. Nagyon várja a viszontlátást.
Je suis enchanté que les bas vous conviennent, ma bonne, ma bien aimée Mère, et j’accepte avec grand plaisir l’invitation[1] de[2] danser à mon retour la polonaise avec vous, et si cela ne sera pas le carneval prochain, j’espère au moins que cela pourra bien être dans le cours de l’été 1819 – Si toute fois ce terme vous paraissait un peu exagéré, n’oubliez jamais, je vous prie, que vous avez un fils obéissant qui ne dmsire rien de plus, que de suivre vos conseils et que d’executer vos ordres – . Je tâcherai de vous envoyer du baume de Jerusalem, il me semble que vous m’en avez parlé en partant de Vienne, mais c’est assez difficile d’en avoir, et surtout à Constantinople, mais comme je dois passer par Smyrne pour me rendre a Athènes, je crois cependant de pouvoir vous en procurer.
Vous aurez assez de peine de déchiffrer la longue lettre que j ’ai envoyée à mon Père, je ne veux pas vous donner la peine par celle-ci, et je veux finir en vous disant que je vous aime, que je tâcherai toujours de vous montrer mon attachement, ma reconaissance. et que je meurs d’impatience et du désir de vous revoir. Que le bon Dieu vous bénisse, soyez persuadée que je n’oublie jamais d’adresser les voeux les plus sincères pour votre bonheur et pour celui de mon père. Adieu
Steph
24 Septemb.[a]
[1] Törölve egy szó.
[2] Utólag beszúrva.
[a] 1818. júliusban indult el keleti útjára, ahonnan 1819. júniusban érkezett haza. 1818. szeptember 21-én érkezett meg Konstantinápolyba, ahonnan ezt a levelet írta édesanyjának. SzIN 1. 345.