Minél többet gondol az ügyre, annál kellemetlenebbnek találja. Fájna neki, ha később kiszorulna a társaságból. Az pedig elviselhetetlen számára, hogy meg kell tőle válnia.
J’ai réfléchi mûrement sur le contenu de vos deux lettres.[a] Plus que j’y pense, plus je me trouve embarassé, je l’avoue. La Prin[1][b] est implacable, je la connois assez, et il n’y a rien au monde qui seroit en état de la consoler de votre perte. Son amour propre, ou plus tôt son orgeuil en est blessé, et n’est susceptible d’aucune guérison. C’ est vrai que je ne suis pas trop lié avec elle,[2] et qu’en général je ne dépends pas beaucoup de la société – de manière que cela pourroit m’être bien indifférent si elle se fâche, ou si elle ne se fâche point. Mais je ne serois pas toujours jeune, et il y aura un tems – ou cela me peineroit et chagrineroit beaucoup, si je me trouvois tout à fait isolé de la société. – Mettons que je voyage que je suis encore quelques années – A quoi me servira un chez moi – si je suis en mauvaise odeure[3] partout – Et croyez moi, qu’un peu d’absence et Me de K—[4] suffiroient pour me faire jouer ce tour. La seule chose que je crains est que Me de est passionnée et qu’alors on n’attend[5] jamais raison – Sans amour propre; cher ami, vous ne vous figurez point combien de gens de votre connoissance m’ en veuillent —
L’idée de me voir, pour ainsi dire3 exclut de la société, m’est extrêmement désagréable – mais celle de voir separé pour toujours de vous m’est absolument insuportable. Je voudrois tant pouvoir combiner ce deux choses – et je cherche bien longtems un expédient sur – pour y réussir – je crois de l’avoir trouvé, et il me paroit bon – Je ne sais pas ce que vous en pensez – Repondez moi en tout cas avant de faire la moindre de2 marche. Vous y êtes pour tout cher ami – et j’exige de sacrifices énormes. =
Je vous envoie deux lettres une qui sera presentable, l’autre ‒ non. ‒
[1] Princesse
[2] Utólag beszúrva.
[3] Törölve egy szó Széchenyi által.
[4] Kaunitz
[5] entend raison helyett
[a] A levelek nem ismertek.
[b] Valószínűleg Aloys Wenzel von Kaunitz-Rietberg herceg (1774–1848) osztrák diplomata felesége, Franziska von Ungnad von Weissenwolff grófnő (1773–1859), akit alább is említ a levélben.